TOURISME en GRECE, juin 2010  Tourisme en Grèce, juin 2010

Remonter

Remonter

   

 

 

 

 

 

 

DELPHES

Delphes est un grand sanctuaire accroché en pleine montagne, sur les flancs du mont Parnasse qui domine la Grèce centrale de ses 2459 m. Delphes est le domaine d'Apollon, c'est un sanctuaire panhellénique, c'est-à-dire qu'il accueille tous les Hellènes : les Grecs. Mais ce qui fait de Delphes le plus grand sanctuaire du monde grec, c'est qu'il est considéré par les Anciens comme le centre du monde (l'ombilic) et, surtout, on y prédit l'avenir : l'oracle. De ce fait, cet espace sacré n'a pas seulement un rôle religieux, il exerce aussi une autorité politique internationale. Les hommes, après les dieux, se sont souvent affrontés pour contrôler ce lieu si important (il sera en fonction plus de mille ans). Pendant longtemps, l'administration du sanctuaire est confiée à une association de douze "peuples" (amphictionie ), qui gère également le sanctuaire de Déméter aux Thermopyles. ( JF-BRADU )

Sur le site du sanctuaire, un village modeste de 1400 av. J.-C. environ a été reconnu: ce site, nommé Pythô (Πυθώ, ος () et Πυθών, νος ()) dans l'Iliade (cf. II, 519 et IX, 405) et dans l'Odyssée (cf. VIII, 80), est abandonné entre 1100 av. J.-C. environ et 800 av. J.-C. Le sanctuaire se développe probablement à partir de cette date, avec l’apparition d’un premier autel et d'un premier temple, que la tradition delphique et la tradition antique placent sur une pente où se serait trouvée une fissure naturelle exhalant des vapeurs (notamment Strabon, IX, 3, 5). ( Wikipedia )

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Site d'en haut                                                                    Cliquez pour agrandir   

Le trésor des Athéniens (érigé probablement vers 490-480 av. J.-C.) a fait l'objet d'une recherche du meilleur emplacement : il se trouve dans un virage de la montée vers le temple d'Apollon, précédé de la base de Marathon qui supportait les statues des héros éponymes d'Athènes. Il mesure 6,5 m × 9,5 m et commémore, selon Pausanias, la victoire de Marathon

L’Oracle de Delphes était consulté non seulement par des particuliers, sur des affaires privées, mais aussi par des chefs d’État et de gouvernement.. Crésus, roi de Lydie, envoya une ambassade à la Pythie pour savoir s’il devait faire la guerre aux Perses. La Pythie lui répondit que s’il faisait la guerre, un grand empire serait détruit. En effet. mais ce fut le sien !

Site d'en bas Cliquez pour agrandir

La Tholos, rotonde anonyme du 4e s. av. J.-C.

 
 

 

 

 

OLYMPIE

bullet1 : Propylée nord-est
bullet3 : Philippéion
bullet4 : Temple d'Héra
bullet5 : Pélopéion
bullet9 : Crypte (passage voûté vers le stade)
bullet10 : Stade
bullet11 : Stoa d'Écho
bullet15 : Temple de Zeus
bullet16 : Autel de Zeus
bullet20 : Gymnase
bullet21 : Palestre
bullet24 : Atelier de Phidias et basilique paléochrétienne
bullet25 : Thermes du Kladéos
bullet29 : Léonidaion
bullet30 : Thermes sud
bullet32 : Stoa sud

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympie

 

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympie

Cliquez sur une image pour l'agrandir

Cliquez sur une image pour l'agrandir

Philippéion

Le Philippéion fut érigé sur l'ordre de Philippe II de Macédoine après sa victoire à la bataille de Chéronée (338 avant J. C.) Ce bâtiment rond abritait les statues chryséléphantines, œuvres de Léocharès) de Philippe, de son épouse Olympias, de son père Amyntas III, de sa mère Eurydice et de son fils Alexandre le grand

 

Palestre

La palestre remonte au IIIe siècle av. J.-C. Elle a le même plan carré qu'un gymnase, mais elle est plus petite. Les athlètes s'y entraînaient aux sports ne nécessitant pas trop de place : lutte et saut principalement.

La palestre est séparée du gymnase par un propylée de style corinthien datant du IIe siècle av. J.-C.[2].

Léonidaion

Le Léonidaion (en grec : Λεωνίδαιον, « [endroit] de Léonidas »), est un bâtiment construit en 330 av. J.-C. à l'extérieur de l’Altis, au sud-ouest du sanctuaire d'Olympie. Son nom lui vient de son donateur et architecte Léonidas de Naxos. Il servait d'hôtellerie et accueillait les visiteurs officiels et athlètes.

 

Temple de Zeus

Le temple colossal de Zeus Olympien, de style dorique (64,2 m de long, 24,6 m de large), fut érigé entre 470 et 456 av. J.-C. Il subit plusieurs catastrophes, notamment un incendie vers 426 av. J.-C., et un tremblement de terre un siècle plus tard, qui le détruisit. L'ensemble du site a été retrouvé enfoui sous une couche d'alluvions de plusieurs mètres d'épaisseur.

 

Temple d'Héra                                                           Consacré à Héra, l'Héraion, temple périptère, probablement le premier édifice dorique connu du Péloponnèse, date des environs de 600 av. J.-C. Ses colonnes (6 sur les petits côtés, 16 sur les longs côtés) étaient à l'origine toutes en chêne. Elles furent progressivement remplacées par des colonnes de pierre.

La flamme olympique est une invention moderne et symbolise l'allumage d'un foyer lors de l'ouverture des jeux antiques. Devant les ruines du temple d'Héra, des actrices jouent le rôle de prêtresse et procédent à l'allumage de la flamme.

Le stade olympique.

Le fameux stade, qui s’étend à l’est des Trésors, fut le plus grand de son temps avec ses 212,54 mètres de long et ses 28,50 mètres de large, et sa piste de 192,27 m (600 pieds d'Héraklès), il avait une capacité de 45 000 spectateurs, des dalles rainurées (appelées cippes) marquaient la ligne de départ. On accède au stade par un passage voûté doté d’un propylée hellénistique et datant de l’époque romaine.  ( http://www.amb-grece.fr/olympisme/site.htm )

Cliquez sur une image pour l'agrandir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MYCENES

Cliquez pour agrandir

Ville du Péloponnèse juchée sur une acropole rocheuse dominant la plaine de l'Argolide, Mycènes a donné son nom à la brillante civilisation qu'a connue la Grèce à l'âge du bronze.

 

Les Mycéniens appelés «Achéens» par Homère dans l'Iliade sont, à l'origine, des tribus indo-européennes qui envahissent la péninsule des Balkans vers 2000 av. J.-C. Peuple guerrier et féodal, ils s'installent à Argos, Mycènes, et Tirynthe où ils construisent des enceintes fortifiées.

Par l'intermédiaire des Cyclades, les Mycéniens découvrent vers 1600 av. J.-C. la culture minoenne, comme en témoignent les objets trouvés dans les sépultures dites «tombes du cercle B», creusées dans le rocher à l'extérieur des murailles de Mycènes. Les Mycéniens ne tardent pas à lancer des expéditions maritimes contre les Crétois et c'est à eux qu'on attribue vers 1400/1450 la disparition de la civilisation minoenne. Néanmoins, il est probable que la grande éruption volcanique qui dévaste à la même époque l'île de Santorin a dû également contribuer à ce déclin. Avec la ruine de la civilisation crétoise et l'essor des Mycéniens, le centre d'activités de la mer Egée se déplace vers les palais de la Grèce continentale.  

Des réalisations architecturales brillantes
Après 1440, les deux grands types de réalisations architecturales de la civilisation mycénienne sont les palais et les tholoï, tombes à coupole construites en pierres équarries et auxquelles on accède par un couloir. La plus célèbre d'entre elles, dite «trésor d'Atrée», se trouve à Mycènes. Les palais grecs, quant à eux, sont organisés - contrairement aux édifices crétois - autour d'un «mégaron», grande pièce à foyer central comportant un porche à colonnade. Cette disposition est sans doute à l'origine du plan du temple grec.
http://www.memo.fr/

La porte des Lionnes constitue l'entrée principale : elle est formée d'un trilithe au linteau énorme surmonté d'un triangle de décharge à encorbellement obturé par une plaque sculptée représentant deux lionnes dressées de part et d'autre d'une colonne à chapiteau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

EPIDAURE

Épidaure, ancienne ville de Grèce, dans l'Argolide, sur la cote nord-est du Péloponnèse, est célèbre par son théâtre, l'un des mieux conservés de la Grèce antique. Cet édifice de 14 000 places assises est l'œuvre de l'architecte Polyclète le jeune. Il est réputé pour ses dimensions et son acoustique parfaites, des derniers gradins, on peut entendre une pièce de monnaie qui tombe dans l'orchestra (aire ou évoluaient le chœurs antique).

Épidaure, était un lieu où le dieu Asclépios était vénéré pour ses dons de guérison. Il avait pour attribut un bâton enroulé de deux serpents, le caducée, qui nous est resté en tant que symbole de la médecine. 

 

 

 

 

 

 

CAP SOUNION

.

Le cap Sounion, sentinelle avancée de l’Attique à 50 km d’Athènes, occupe un site marin admirable face à la mer Egée et aux Cyclades. Ce cap, haut de 60 mètres, qui plonge à pic dans la mer était appelé, par les Anciens, la «pointe sacrée».

Du rocher surplombant la baie, les Athéniens avaient l'habitude de surveiller la mer Égée et pouvaient apercevoir toute flotte suspecte faisant voile vers Athènes, bien avant qu'elle puisse l'atteindre.
C'est pourquoi, tout naturellement, ils y avaient bâti un temple dédié à Poséidon, Dieu de la mer.

www.bouts-du-monde.com/.../cap_soun.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     
     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 Dernière mise à jour le : 14 août 2010.